La pire oeuvre 1

Au travail. Nous sommes des diablotins!

Construction d'une histoire ensemble. L'un commence, les autres ajoutent des bouts de phrase, des phrases, des mots. Pas plus d'un paragraphe pour éviter que l'histoire ne soit l'oeuvre que d'un diablotin.
Lorsque l'histoire s'épuise, s'éssoufle, se termine, on arrête et on repart avec un autre début dans "La pire oeuvre 2".

A vos plumes!




Fraichement découpée, l'oreille de ce cochon répulsait Louis. Pourtant, c'était son nouveau métier, il fallait s'accrocher.

Fraichement découpée, l'oreille de ce cochon répulsait Louis. Pourtant, c'était son nouveau métier, il fallait s'accrocher. La vie était dur (comme le fer), et il n'avait pas trop le choix. Prit de rage, il mangea l'oreille du cochon qu'il venait de tué ! Han ! Il y était contraint. Un gouteur du roi ne refuse pas un met si précieux. Mangée entière, l'oreille pouvait lui causer des problèmes. Qu'importe pensa-t-il, le cochon a deux oreilles, je laisse au divin seigneur la seconde.

Et le divin seigneur mangea la seconde oreille, et s'exclama:
-Quelle merde ce cochon ! Amenez-moi le cuisinier, que je le fasse exécuter sur le champs ! De dieu !

Le palefrenier des dragons, qui se trouvait là, se rendit dans la cuisine et appela Louis: "Louis,Le divin est furieux. Viens, tu es condamné à mort
_ Mais...
_ Non, Louis. Non, je ne pronocerai pas les mots que tu veux entendre: ils sont faux."
Louis comprit qu'il fallait se taire pour ne pas éveiller les oreilles des murs. Il serra la main de son ami, le regarda avec un regard plein de larmes et le suivit auprès du Divin. Il ne savait plus si Mark l'aimait et jouait la comédie pour le sauver ou se sauver ou s'il disait vrai et qu'il ne l'avait jamais aimé.

Malheureusement, la seconde théorie lui apparut comme juste au bout de seulement quelques secondes, car il y avait quelque chose dans son comportement que Louis trouvait anormal. Tout d'abord, sa voix avait bizarement mué pour se transformer en un son grave, lourd et si épais, qu'il lui semblait presque palpable lorsqu'il s'introduisait dans ses oreilles. Le second indice, fut les yeux de Mark. Vidés de toute expression, ils n'étaient plus que deux billes grises, et tristes fixées solidement à la face, si pâle, du traitre.

Fraichement découpée, l'oreille de ce cochon répulsait Louis. Pourtant, c'était son nouveau métier, il fallait s'accrocher. La vie était dure (comme le fer), et il n'avait pas trop le choix. Prit de rage, il mangea l'oreille du cochon qu'il venait de tué ! Han ! Il y était contraint. Un gouteur du roi ne refuse pas un met si précieux. Mangée entière, l'oreille pouvait lui causer des problèmes. Qu'importe pensa-t-il, le cochon a deux oreilles, je laisse au divin seigneur la seconde.

Et le divin seigneur mangea la seconde oreille, et s'exclama:
-Quelle merde ce cochon ! Amenez-moi le cuisinier, que je le fasse exécuter sur le champs ! De dieu !

Le palefrenier des dragons, qui se trouvait là, se rendit dans la cuisine et appela Louis: "Louis,Le divin est furieux. Viens, tu es condamné à mort
_ Mais...
_ Non, Louis. Non, je ne pronocerai pas les mots que tu veux entendre: ils sont faux."
Louis comprit qu'il fallait se taire pour ne pas éveiller les oreilles des murs. Il serra la main de son ami, le regarda avec un regard plein de larmes et le suivit auprès du Divin. Il ne savait plus si Mark l'aimait et jouait la comédie pour le sauver ou se sauver ou s'il disait vrai et qu'il ne l'avait jamais aimé.

Malheureusement, la seconde théorie lui apparut comme juste au bout de seulement quelques secondes, car il y avait quelque chose dans son comportement que Louis trouvait anormal. Tout d'abord, sa voix avait bizarement mué pour se transformer en un son grave, lourd et si épais, qu'il lui semblait presque palpable lorsqu'il s'introduisait dans ses oreilles. Le second indice, fut les yeux de Mark. Vidés de toute expression, ils n'étaient plus que deux billes grises, et tristes fixées solidement à la face, si pâle, du traitre.

Louis commencait à paniquer. Son seul "ami" dans cette cour renfermée ou il n'est permi de parler qu'a ses superieurs, ne semblais plus le connaitre.
Au fur et à mesure qu'il avancait dans la deumeure de son Maître, des souvenirs lui remontaient en tête: le jour de son arrivée, le palfrenier l'avais servi avant lui, sans un regard: n'est-ce pas un signe d'amitié profonde ? Et le jour ou il avait renversé la sallière, ne lui avait-il pas administré que soixnte coups de fouets ?
Non, c'est impossible, il m'aime trop pour cela.

Fraichement découpée, l'oreille de ce cochon répulsait Louis. Pourtant, c'était son nouveau métier, il fallait s'accrocher. La vie était dure (comme le fer), et il n'avait pas trop le choix. Prit de rage, il mangea l'oreille du cochon qu'il venait de tué ! Han ! Il y était contraint. Un gouteur du roi ne refuse pas un met si précieux. Mangée entière, l'oreille pouvait lui causer des problèmes. Qu'importe pensa-t-il, le cochon a deux oreilles, je laisse au divin seigneur la seconde.

Et le divin seigneur mangea la seconde oreille, et s'exclama:
-Quelle merde ce cochon ! Amenez-moi le cuisinier, que je le fasse exécuter sur le champs ! De dieu !

Le palefrenier des dragons, qui se trouvait là, se rendit dans la cuisine et appela Louis: "Louis,Le divin est furieux. Viens, tu es condamné à mort
_ Mais...
_ Non, Louis. Non, je ne pronocerai pas les mots que tu veux entendre: ils sont faux."
Louis comprit qu'il fallait se taire pour ne pas éveiller les oreilles des murs. Il serra la main de son ami, le regarda avec un regard plein de larmes et le suivit auprès du Divin. Il ne savait plus si Mark l'aimait et jouait la comédie pour le sauver ou se sauver ou s'il disait vrai et qu'il ne l'avait jamais aimé.

Malheureusement, la seconde théorie lui apparut comme juste au bout de seulement quelques secondes, car il y avait quelque chose dans son comportement que Louis trouvait anormal. Tout d'abord, sa voix avait bizarement mué pour se transformer en un son grave, lourd et si épais, qu'il lui semblait presque palpable lorsqu'il s'introduisait dans ses oreilles. Le second indice, fut les yeux de Mark. Vidés de toute expression, ils n'étaient plus que deux billes grises fixées solidement à la face, si pâle, du traitre.

Louis commencait à paniquer. Son seul "ami" dans cette cour renfermée ou il n'est permis de parler qu'à ses superieurs, ne semblait plus le connaitre.
Au fur et à mesure qu'ils avancaient dans la demeure du Divin, des souvenirs lui remontaient en tête: le jour de son arrivée, le palefrenier l'avait servi avant lui, sans un regard: n'etait-ce pas un signe d'amitié profonde ? Et le jour ou il avait renversé la sallière, ne lui avait-il pas administré que soixante coups de fouet ?
"Non, c'est impossible, il m'aime trop pour cela."[/i] pensa Louis.

Ils arrivèrent devant le Divin. Le palefrenier se décalla et laissa Louis, seul, face au Divin, face à son sort, face à son destin... face à sa mort.
" La mort pour cet être! " s'exclama le Divin.
Une larme glissa sur la joue de Louis. Le Divin s'en aperçut. " Quel être égoiste! Il pleure pour sa mort! Pauvre tâche! N'as tu donc pas un peu de courage et de fierté? "
Fou de rage, Louis répliqua: "Ce n'est pas pour moi que je pleure. C'est au nom de l'Amour."

Hurlant de rire, le roi s'exclama: "non mais regardez moi cet imbécile !!! mais l'Amour, celui avec un grand "A" n'existe plus mon cher: cela fait maintenant 3 siécles que la Démocratie à été abolie et qu'en cet an 2341, la monarchie est reine, 3 siécles que le monde entier a perdu espoir".